Lucky Luke Vol 78: The Dalton Uncles
Bandes dessinées LUCKY LUKE
Content
- Lucky Luke in other media
- Les personnages principaux
- Collection : Lucky Luke French version
- Combien vaut un album de lucky Luke de collection ?
- Jeux de société[modifier modifier le code]
- L’homme qui tire plus vite que son ombre
- By Achdé and various writers (since
- La Ballade des Dalton
- Atelier jeunesse – coloriages et autres surprises (nouveaux coloriages !)
- Liste des histoires de Lucky Luke
- Séries dérivées[modifier modifier le code]
- Les Dalton
- Billy the Kid
- Albums : Les Aventures de Kid Lucky d’après Morris[modifier modifier le code]
- Films[modifier modifier le code]
- Télécharger Lucky Luke – tome 8 – Chasseur de primes Livre PDF Gratuit
- LUCKY LUKE en vidéo
- Nordmann
- Goscinny
- Les Aventures de Kid Lucky d’après Morris
- Bande dessinée[modifier modifier le code]
- Après Goscinny[modifier modifier le code]
- Lucky Luke – L’homme de Washington
- By Morris & Goscinny (1955–
- Coloriage Lucky Luke – Lucky Luke 8
- Lucky Luke Vol. 78: The Dalton Uncles
En revanche, la cigarette disparaît, remplacée une fois de plus par un brin d’herbe[48]. Pour Morris la lisibilité d’une image est très importante pour que le lecteur comprenne au premier coup d’œil ce qui s’y passe. Une charge de cavalerie est alors représentée par trois ou quatre soldats plus des ombres chinoises, un décor du Grand Nord par de la neige et quelques silhouettes de sapins. Morris va même jusqu’à supprimer le décor quand il n’est pas essentiel à l’action, en représentant seulement le décor dans la première case de l’action et en l’omettant dans les cases suivantes. Cette technique permet de rendre plus simple l’action des personnages[37]. Plusieurs autres personnages secondaires parisiens prennent à leur tour Luke pour un Belge dans le reste de l’album.
Lucky Luke est une série de bandes dessinées caricaturale, de ce fait, tout l’environnement est exagéré aussi bien au niveau des attitudes que du physique des personnages comme l’utilisation de gros nez. Un personnage peut ne pas être de couleur chair avec des habits colorés, mais d’une couleur unie des pieds à la tête. Ainsi dans une scène d’incendie, la planche est colorée pratiquement entièrement en rouge vif. L’ensemble donne un aspect humoristique, voire pop art, aux couleurs de la série[34]. Cela pose des problèmes à l’imprimerie, où les couleurs sont appliquées par des chromistes, qui ne respectent pas toujours les couleurs indiquées par Morris sur les calques posés sur les planches[35]. Morris s’en sert aussi pour représenter des cercles comme le cercle à dynamique rayonnante de l’histoire Les Dalton se rachètent qui montre un Joe Dalton furieux, bondir des quatre coins du saloon https://lucky8fr1.com.
Lucky Luke in other media
Fingers est publiée en 1983 dans le magazine VSD et la même année en album[63]. La série fait un retour dans Spirou en 1983 avec Le Daily Star publiée du no 2424 au no 2427 (publiée la même année en album) et en 1984 avec La Fiancée de Lucky Luke du no 2479 au no 2482 (publiée la même année en album)[2]. Nitroglycérine est publiée du no 942 au no 946 de Pif Gadget, puis en album en 1987[13]. La série disparaît de Spirou pendant presque deux ans pour cause de voyage aux États-Unis de Morris, elle revient en 1955 dans le no 906 avec l’histoire Des rails sur la prairie scénarisée pour la première fois par René Goscinny rencontré pendant ce voyage. La publication se termine dans le no 929, puis est publiée en album en 1957, il s’agit du premier album ne contenant qu’une seule histoire.
- Le ministre des affaires étrangères français de 1991 à 1995, Hubert Védrine a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[107].
- En littérature, Ma Dalton est citée dans le livre Forages en eaux profondes sur l’affaire Elf de Valérie Lecasble et Airy Routier.
- Le blanchisseur toujours de petite taille et d’origine chinoise, est discret, modeste et parle un langage incompréhensible composé de figures de styles stéréotypées.
- L’Arche de Rantanplan résonne avec l’actualité grâce à sa galerie de personnages.
- Le groupe Carimi cite aussi Lucky Luke dans leur chanson Ayiti Bang Bang en 2001[111].
- Sont ensuite publiées plusieurs courtes histoires, L’École des shérifs dans le no 506 de Pif Gadget, Un amour de Jolly Jumper dans le no 2117 de Spirou et La Corde du pendu dans le no 2172.
Le cercle dynamique centripète comme dans l’histoire L’Escorte quand les amérindiens attaquent une diligence déjà sous le feu des bandits voulant délivrer Billy the Kid. Le cercle dynamique centrifuge, comme dans l’histoire Lucky Luke contre Pat Poker avec la fuite devant la mouffette, le cercle dynamique rotatif, comme dans l’histoire Le Juge où Lucky Luke, attaché à un arbre, doit courir pour éviter l’ours de Roy Bean. Le cercle dynamique rotatif simple ou concentrique repris dans plusieurs albums de la série avec les Amérindiens qui tournent autour d’un chariot[c 5]. Lucky Luke est publié pour la première fois en 1946 dans l’Almanach 47 du journal Spirou avec l’histoire Arizona 1880[2]. Le graphisme de la série est alors inspiré de celui des dessins animés avec des traits ronds pour les personnages[c 1] lucky8 free spins.
Les personnages principaux
Dans le cadre du Parcours BD de Bruxelles, une fresque murale de Lucky Luke, créée par Morris et réalisée par l’association « Art Mural », est inaugurée en 1992 dans une rue du centre-ville de Bruxelles (rue de la Buanderie)[112].
- Prix BD, Tintin, Asterix,.., pin’s, télécartes, vente pièce de monnaie, billet, pièce argent, euro, actions anciennes et emprunts, sous bocks, verres, porte clés, estimation jouets anciens, Dinky Toys, timbres, mignonnettes, bijoux, miniatures parfum…
- Le service prend en charge une variété de plates-formes allant de PC, Android, tablette, iPhone et Kindle.
- Dans Risque-Tout no 49 parait l’histoire courte intitulée Voleurs de Chevaux.
- Il s’agit d’une adaptation de l’histoire du même nom avec Pierre Perret dans le rôle du juge Roy Bean.
- Le pianiste, toujours inébranlable malgré les bagarres et les fusillades qui l’entourent, est une dernière figure récurrente du saloon[c 7].
La série animée fera vingt-six épisodes d’une demi-heure adaptée d’un album. Avant la série animée est sorti, l’année précédente, un long-métrage intitulé Les Dalton en cavale réalisé par le même studio américain[17]. Si la série connut le succès en Europe, elle fut un échec aux États-Unis et Hanna-Barbera se retire de la production dès la première saison. La société française de IDDH continue seule l’aventure et produit une seconde série en 1991 débarrassée des contraintes américaines, mais moins réussie au niveau de l’animation, le budget étant plus modeste avec le départ des Américains[18]. La première histoire originale de la série qui paraît dans le journal Pilote est Dalton City du no 441 au no 462 de l’année 1968 (publiée en album en 1969 aux éditions Dargaud). La série est publiée parallèlement dans Super Pocket Pilote avec Défi à Lucky Luke (no 1) et Arpèges dans la vallée (no 2).
Collection : Lucky Luke French version
Corral, Soapy Smith dans Le Klondike ou encore Jesse James, Billy the Kid et Calamity Jane qui apparaîtront comme personnages principaux de plusieurs épisodes de la série[38]. La série contient un nombre considérable de plongées et contre-plongées avec souvent de grandes images qui occupent, sous cet angle de vue, les deux tiers d’une demi-planche. Ceci permet de faire un plan d’ensemble d’une scène, par exemple un camp de chercheur d’or, ou l’intérieur d’un saloon, ou encore la rue principale d’une ville, tout en glissant plusieurs éléments humoristiques dans l’image. Morris utilise ce procédé cinématographique qu’est la plongée de différentes manières. La plongée stabilisée, comme dans l’histoire Les Dalton courent toujours, permet de suivre les Dalton sous terre au fur et à mesure qu’ils creusent pour trouver la banque déplacée sans arrêt par Lucky Luke. La plongée dynamique en avant, comme dans l’histoire Canyon Apache entraîne le lecteur avec la cavalerie américaine, fonçant tête la première dans le piège tendu par les Apaches.
- La ruée vers l’or et l’arrivée de nouveaux colons sur des terres indiennes sont les sujets de nombreux albums.
- Morris tenait en revanche à dessiner entièrement les histoires longues destinées aux albums[c 4].
- Fingers présent dans l’histoire du même nom est un magicien dont les mains volent sans qu’il puisse les contrôler ; il va aider les Dalton à s’échapper du pénitencier, puis va être placé sous la responsabilité de Lucky Luke[s 14].
- Morris quitte Dargaud pour fonder sa propre maison d’édition, Lucky Productions.
- C’est d’ailleurs sous l’influence des collaborateurs de Mad qu’il fait de Lucky Luke une véritable parodie[8].
Dans le journal périodique est publiée, pour l’année 1969, l’histoire à suivre Jesse James du no 478 au no 499 (1969 en album). Ensuite est publiée l’histoire à suivre Western Circus du no 520 au no 541 (1970 en album). La même année est publiée dans le troisième numéro de Super Pocket Pilote, une histoire complète de huit pages intitulée Promenades dans la ville, puis dans le quatrième numéro une histoire de seize pages intitulée La Bataille du riz. Pour l’année 1970, est publiée l’histoire à suivre Canyon Apache du no 563 au no 584 (1971 en album). L’année suivante est publiée l’histoire à suivre Ma Dalton du no 595 au no 616 (1971 en album).
Combien vaut un album de lucky Luke de collection ?
En 1949 sort La Mine d’or de Dick Digger (pré-publiée dans Spirou en 1947), premier album de la série[3] et réalisée sur un scénario de son frère, Louis De Bevere[7]. Il travaille aussi pour divers magazines de bande dessinée américains et illustre des livres pour enfants. Durant son séjour qui dure six ans, il fait la connaissance de Harvey Kurtzman, alors rédacteur en chef du magazine de bande dessinée Mad. Ces contacts avec les auteurs de bande dessinée américains auront un impact important sur son travail[c 2].
- Morris reste aux États-Unis, d’où il continue d’envoyer régulièrement des planches au journal Spirou.
- Il exerce son métier de juge dans le saloon de Langtry au Texas où il terrorise les habitants avec des amendes qu’il encaisse lui-même.
- C’est la fin censurée qui sera publiée dans le journal Spirou en 1952[43].
- L’acteur Terence Hill, vedette du western comique italien, l’a mis en scène tout en incarnant le personnage titre.
- Louis De Bevere réalisera également le scénario de L’Élixir du Docteur Doxey, d’Alerte aux Pieds-Bleus et de deux histoires courtes[7].
Cette dernière utilisation permet de montrer qu’il y a quand même une explication au gag, dans cet exemple les Dalton montrent chacun en même temps un carré d’as[c 5]. En 2020, après l’album La Terre promise en 2016 et l’album Un cowboy à Paris en 2018, Jul et son dessinateur, Achdé, décident de parler de la ségrégation raciale dans un nouvel album intitulé Un cowboy dans le coton[32]. Aussi bête soit-il, Rantanplan a visiblement encore quelques belles années, et autant d’occasions de nous faire rire, devant lui. Avec L’arche de Rantanplan, Jul et Achdé font souffler une fois de plus un vent de modernité sur les aventures de celui qu’on surnomme “Lonesome Cowboy” et mettent en lumière les animaux de la série qui font aussi le succès de Lucky Luke.
Jeux de société[modifier modifier le code]
En 1999 est créée la maison d’édition Lucky Comics, née d’un partenariat entre Lucky Productions et Dargaud. Tous les albums de Lucky Luke qui ont été publiés par ces deux maisons d’édition le sont désormais par cette nouvelle entité. Le premier album publié par Lucky Comics paraît en 2000 et est intitulé Le Prophète, sur un scénario de Patrick Nordmann[63]. En 2002 est publié La Légende de l’Ouest, sur un scénario Patrick Nordmann. Il s’agit de la dernière histoire de Morris qui est décédé l’année précédente[65]. Le joueur de poker, habillé élégamment et affublé d’un chapeau, a le regard fourbe du tricheur ; il fréquente les tables de jeux et se retrouve fréquemment couvert de goudron et de plumes porté sur un rail par les habitants du village.
- La même année sort un jeu de puissance 4 intitulé Les cinq Dalton à l’effigie des frères Dalton[s 27].
- Nettoyage à Red-City parait du no 685 au no 697 et Hors-la-loi du no 701 au no 731.
- Morris avait découvert Achdé grâce à une planche dessinée par celui-ci dans un album hommage au créateur de Lucky Luke.
- Le mot « Fin » qui fait lui aussi partie du tableau de la dernière case est parfois modifié comme dans l’histoire Ma Dalton où il est écrit en point de croix et dans l’histoire Le Grand Duc où le mot est écrit en russe[50].
- La série est truffée d’éléments humoristiques qui parodient les œuvres de western.
Les premiers ennemis inventés que doit affronter Lucky Luke sont Big Belly, Mestizo et Cheat dans l’histoire Arizona 1880. Les deux premiers reviennent dans l’histoire suivante La Mine d’or de Dick Digger ; dans Le Sosie de Lucky Luke les ennemis s’appellent Stan Strangler, le Petit Charley Chick et Mad Jim. L’histoire suivante, Lucky Luke à Desperado-City, met en scène les Frères Pistol et le croque-mort. Ensuite il affronte Cigarette Caesar dans l’histoire Lucky Luke contre Cigarette Cæsar.
L’homme qui tire plus vite que son ombre
En 1955 sort le septième album L’Élixir du Docteur Doxey qui contient les histoires quinze et seize, puis sont publiées des histoires courtes dans le journal Risque-Tout, Grabuge à Pancake Valley dans le no 5 et Lucky Luke et Androclès dans le no 11[2]. La série fut souvent censurée, en particulier en France à cause de la loi de 1949 sur les publications pour la jeunesse, puis à partir de 1955 en Belgique où le gouvernement accuse la bande dessinée de pervertir la jeunesse. Ainsi la fin de la douzième histoire Hors-la-loi a été changée, car jugée trop sanglante.
- En 1999 est créée la maison d’édition Lucky Comics, née d’un partenariat entre Lucky Productions et Dargaud.
- Dans l’histoire Lucky Luke contre Pinkerton, est mis en scène le célèbre détective Allan Pinkerton qui souhaite remplacer Lucky Luke comme justicier de l’Ouest[s 9].
- Il fait régner la loi dans l’Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton[1].
- Il lui arrive parfois de converser avec ses congénères, qu’il prend d’ailleurs souvent de haut, se montrant même grossier avec les chevaux d’attelage[d 8].
- Le grand-père sur son fauteuil roulant, qu’il manie habilement, et bien souvent armé d’un vieux fusil.
Dans l’histoire, Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » il a pour ami O’Hara[s 10]. Le Capitaine Barrow apparaît dans la vingt-neuvième histoire, En remontant le Mississipi, il dirige le bateau « Daisy Belle » qui navigue sur le Mississippi, Lucky Luke le protège contre les méfaits de son rival le Capitaine Lowriver[d 33]. Dans l’histoire suivante Les Dalton dans le blizzard, Lucky Luke est aidé par le caporal Winston Pendergast de la police montée canadienne à rattraper les Dalton[d 36]. Powell est un vieillard, propriétaire d’une mine d’or à Gold Hill[d 37], Lucky Luke le protège contre Denver Miles qui veut lui voler sa mine dans la trente-neuvième histoire intitulée La Ville fantôme[d 38]. L’allié de Lucky Luke dans l’histoire Le 20e de cavalerie est dur, froid et distant, il s’agit du colonel Mac Straggle de la cavalerie[d 39], ainsi que son fils Grover qui est aussi son souffre douleur[d 40].
By Achdé and various writers (since
Une planche où l’on voyait Billy the Kid alors bébé sucer un révolver, fut censurée par le comité français au nom de la moralité et du bon goût[c 3]. Il faudra attendre 1981 pour que le dessin original soit rétabli dans l’album[d 2]. Goscinny disparu, Morris fait alors appel à divers scénaristes, mais tous ont du mal à prendre la suite de René Goscinny. En parallèle, les studios Dargaud produisent des histoires courtes sur des scénarios de Bob de Groot, Greg et Vicq. Morris tenait en revanche à dessiner entièrement les histoires longues destinées aux albums[c 4]. Jean Léturgie et Xavier Fauche seront, pour Morris, les scénaristes qui vont le plus se rapprocher du style à plusieurs niveaux de René Goscinny (premier degré pour les enfants, et second degré pour les adultes)[15].
En 1948, Morris, Franquin et la famille de Jijé décident de partir pour les États-Unis. Pour Jijé, ce départ est avant tout politique, craignant une troisième guerre mondiale qui transformerait l’Europe en zone occupée par les troupes de Joseph Staline ou en zone dévastée par les bombes atomiques[5]. Pour Morris, ce voyage est plutôt motivé par l’envie de découvrir les décors et les méthodes de travail des auteurs aux États-Unis, qu’il considère comme le pays de la bande dessinée[c 2]. En juin 1949, après plusieurs mois passés au Mexique, ses compagnons de voyage repartent vers l’Europe[6]. Morris reste aux États-Unis, d’où il continue d’envoyer régulièrement des planches au journal Spirou.
La Ballade des Dalton
Ces deux histoires sont ensuite publiées en 1964 dans un album intitulé Les Dalton courent toujours. Les Dalton dans le blizzard est la première histoire publiée en 1962 du no 1256 jusqu’au no 1277 (1963 en album), la seconde est La Caravane publiée du no 1281 au no 1302 (1964 en album). L’année 1963 voit la publication de l’histoire La Ville fantôme du no 1306 au no 1327 et de Les Dalton se rachètent du no 1331 au no 1352.
- Conseils pour acheter ou vendre ses objets de collection, valeur selon argus.
- En 1949 sort La Mine d’or de Dick Digger (pré-publiée dans Spirou en 1947), premier album de la série[3] et réalisée sur un scénario de son frère, Louis De Bevere[7].
- L’acteur Brian Donlevy est croqué en William Bradwell dans l’histoire Le Fil qui chante[d 66].
Le premier album édité par celle-ci est intitulé L’Amnésie des Dalton et sort en 1991, mais l’histoire a été publiée pour la première fois en 1991 du no 1169 au no 1173 de Pif Gadget. L’année suivante voit la publication de Chasse aux fantômes, sur un scénario de Lo Hartog van Banda. En 1993 est publiée Les Dalton à la noce scénarisée par Xavier Fauche et Jean Léturgie. Même équipe de scénaristes pour Le Pont sur le Mississipi, publiée en 1994. Xavier Fauche est en revanche seul à faire le scénario pour Belle Starr, éditée en 1995.
Atelier jeunesse – coloriages et autres surprises (nouveaux coloriages !)
Dans l’histoire Lucky Luke contre Pinkerton, est mis en scène le célèbre détective Allan Pinkerton qui souhaite remplacer Lucky Luke comme justicier de l’Ouest[s 9]. Dans l’album Un cow-boy dans le coton, Lucky Luke rencontre le premier marshal noir Bass Reeves. L’arrivée des colons à l’Ouest, du train et du télégraphe sont traités de la même manière que les grands évènements que sont la ruée vers l’or ou l’exploitation du pétrole. La figure de Lucky Luke est aussi traitée avec humour lors de ces évènements ; quoi qu’il arrive il n’y participe jamais pour s’enrichir, mais simplement pour protéger les plus faibles ou rétablir la justice. Les bandits présents dans Lucky Luke ont pour la plupart véritablement existé (hormis dans les premières histoires, jusqu’à Hors-la-loi).
- Le style graphique que s’impose Achdé est celui de la série qui va de l’histoire Calamity Jane à l’histoire Le Fil qui chante[21].
- Il apparaît dans la plupart des albums où se déroule un grand trajet à travers les États-Unis, ainsi il fait sa première apparition dans la quarante-septième histoire, La Diligence, puis il revient dans Le Fil qui chante, La Fiancée de Lucky Luke et Belle Starr.
- Si, au début de la série, il n’exprime que rarement ses opinions, à partir de la trentième histoire Sur la piste des Dalton il devient sous la plume de René Goscinny un commentateur de l’action.
- Dans l’histoire, Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » il a pour ami O’Hara[s 10].
- Marcel Dalton présent dans l’histoire du même nom est l’oncle des Dalton, banquier en Suisse il est le seul membre honnête de la famille et va engager ses neveux dans une banque qu’il ouvre aux États-Unis[s 13].
La rue des Pierres a ainsi temporairement été surnommée rue Lucky Luke[114]. En 2003, une illustration de Lucky Luke et Jolly Jumper est réalisée pour illustrer le ski dans les couloirs du Centre sportif de Blocry à Louvain-la-Neuve, qui contient nombre de dessins évoquant le sport dans la bande dessinée[réf. Dans la version française du film Retour vers le futur 3, Marty McFly appelle à un moment sa voiture qui permet de voyager dans le temps Jolly Jumper, avant de partir en 1885, à l’époque des westerns.
Liste des histoires de Lucky Luke
La série a aussi été adaptée sur de nombreux supports, en longs-métrages d’animation et séries animées pour la télévision, en films, jeux vidéo, jouets et jeux de société. Le terme « Lucky Luke » est depuis devenu dans les sociétés française et belge synonyme de rapidité. Dopey, l’un des personnages de Ruée sur l’Oklahoma, ressemble à Michel Simon jeune.
- Avec le décès de Morris, et conformément à sa volonté, Lucky Luke poursuit ses aventures avec un nouveau dessinateur, Achdé.
- Cette année est publiée La Diligence du no 1504 au no 1525, Le Pied-Tendre du no 1537 au no 1556[2].
- Le célèbre peintre de l’Ouest américain, Frederic Remington est représenté dans l’histoire L’Artiste-peintre, Lucky Luke doit le protéger dans l’Ouest sauvage alors qu’il souhaite peindre le légendaire amérindien Hiawatha[s 8].
- L’absence du héros de la série dans ce film n’est pas tellement ressentie puisqu’il joue un rôle secondaire dans l’intrigue de l’histoire originale publiée en 1959[s 17].
- En 1984, les studios américains Hanna-Barbera Productions produisent une série animée éponyme.
Pour 1956, parait l’album Phil Defer qui contient les histoires dix-sept et dix-huit. Dans Spirou, parait Alerte aux Pieds-Bleus publiée du no 938 au no 957, puis Lucky Luke et la bande de Joss Jamon du no 966 au no 989. Dans Risque-Tout no 49 parait l’histoire courte intitulée Voleurs de Chevaux. La même année est publiée une nouvelle qui a pour titre Pirates en pullman dans un hors-série du journal Spirou intitulé Spirou poche.
Séries dérivées[modifier modifier le code]
Nebraska Kid, dans l’histoire Les Collines noires prend le visage de Kirk Douglas. Le professeur de maintien de Calamity Jane, dans l’histoire du même nom, a les traits de David Niven[54]. Toujours dans Calamity Jane, le rival de l’héroïne, August Oyster, est représenté sous les traits de Sean Connery[55]. Dans En remontant le Mississipi, James Coburn est caricaturé sous les traits du tueur à gages Pistol Pete. W. C. Fields devient patron de cirque miteux dans Western Circus et charlatan dans La Ballade des Dalton. Hank Bullys, le conducteur de La Diligence a les traits de Wallace Beery[54] alors que dans la même histoire le joueur professionnel Scat Thumbs est représenté sous les traits de John Carradine[52].
- La fin de l’histoire présente dans la réédition de la collection « Gag de poche » de 1964 est complètement différente puisqu’on voit Bob Dalton mourir après qu’une balle — que l’on suppose tirée par Lucky Luke — lui a traversé la tête.
- La première est publiée en 1975, il s’agit de l’histoire La Guérison des Dalton publiée du no 1 au no 13.
- Achdé reste au dessin et écrit lui-même le scénario pour les deux premiers albums, L’apprenti cowboy et Lasso périlleux[24].
- À partir du no 8 est publiée l’histoire à suivre Le Cavalier blanc qui va se terminer dans le no 12, le dernier numéro du journal avant sa disparition définitive.
Pour l’année 1996 est publiée Le Klondike, sur un scénario de Yann et Jean Léturgie. En 1998, c’est l’histoire Marcel Dalton qui est publiée sur un scénario de Bob de Groot[63]. Dans l’histoire Le Pied-Tendre, le bandit qui tente de s’emparer des terres héritées par Waldo Badmington, est Jack Ready[d 59]. Corduroy Zilch, organisateur de rodéo dans la cinquante-cinquième histoire, Western Circus, voit d’un mauvais œil l’arrivée du cirque à Fort Coyote[d 60]. Dans Canyon Apache, on assiste à une guerre entre le colonel O’Nollan qui veut se venger des Apaches qui ont enlevé son fils, Patrick, et le jeune chef Apache, Patronimo[d 61].
Les Dalton
C’est Joe-la-Gachette l’ennemi de l’histoire qui porte le même nom, puis Face-à-Tabac dans l’histoire suivante Jours de round-up. Dans le septième album, L’Élixir du Docteur Doxey Luke affronte Scraggy dans la première histoire et le Docteur Doxey dans les deux. Dans l’album suivant, Phil Defer, les ennemis ont pour nom O’Sullivan et Phil Defer[s 10]. Morris avait découvert Achdé grâce à une planche dessinée par celui-ci dans un album hommage au créateur de Lucky Luke. Achdé fait un essai sur la série Rantanplan sous forme de strips et fait la connaissance de Philippe Ostermann, le directeur éditorial de Dargaud.
- Le cercle dynamique centripète comme dans l’histoire L’Escorte quand les amérindiens attaquent une diligence déjà sous le feu des bandits voulant délivrer Billy the Kid.
- Il apparaît presque toujours avec eux, les suivant à la trace chaque fois qu’ils s’évadent du pénitencier.
- Le cercle dynamique rotatif simple ou concentrique repris dans plusieurs albums de la série avec les Amérindiens qui tournent autour d’un chariot[c 5].
- Avec L’arche de Rantanplan, Jul et Achdé font souffler une fois de plus un vent de modernité sur les aventures de celui qu’on surnomme “Lonesome Cowboy” et mettent en lumière les animaux de la série qui font aussi le succès de Lucky Luke.
- Cette dernière utilisation permet de montrer qu’il y a quand même une explication au gag, dans cet exemple les Dalton montrent chacun en même temps un carré d’as[c 5].
Si Morris choisit le journal Spirou pour publier ses bandes dessinées plutôt que Tintin, c’est parce qu’il trouve Spirou plus ouvert et plus fantaisiste que son concurrent très marqué par le style d’Hergé. En outre, il travaille déjà pour le studio de dessins animés des éditions Dupuis et a dessiné quelques cartoons pour le journal Le Moustique, alors propriété de Dupuis. Sur conseil de son éditeur, il part habiter chez Jijé, seul auteur belge de l’époque à faire sérieusement de la bande dessinée selon les propres propos de Morris. Il y retrouve André Franquin, qui vient de reprendre la série Spirou et Fantasio, et un peu plus tard Will, qui reprend Tif et Tondu. Au contact de Jijé, il apprendra beaucoup de techniques de la bande dessinée, notamment le dessin d’un croquis d’après nature, grâce à plusieurs séances par semaine sur modèle vivant[c 1].
Billy the Kid
Erasmus Mulligan, propriétaire du Western Circus dans l’histoire du même nom est protégé par Lucky Luke contre Corduroy Zilch, organisateur de rodéo qui voit d’un mauvais œil la concurrence du cirque[d 43]. Dans Chasseur de primes, il aide le Cheyenne Tea Spoon soupçonné d’avoir volé Lord Washmouth III, un cheval de compétition[d 44]. Dans la quatre-vingt-septième histoire, La Fiancée de Lucky Luke, Lucky Luke doit protéger un convoi de femmes et particulièrement Jenny dont le fiancé est en prison et qui va vivre avec Lucky Luke[s 11]. Dans l’histoire Les Dalton à la noce, Samuel Parker, ami de Lucky Luke, veut s’occuper des Dalton avant son mariage[s 12]. Marcel Dalton présent dans l’histoire du même nom est l’oncle des Dalton, banquier en Suisse il est le seul membre honnête de la famille et va engager ses neveux dans une banque qu’il ouvre aux États-Unis[s 13]. En 1974, sort un jeu de domino à l’effigie des personnages de la série[s 26].
- Pour l’année 1996 est publiée Le Klondike, sur un scénario de Yann et Jean Léturgie.
- Le joueur de poker, habillé élégamment et affublé d’un chapeau, a le regard fourbe du tricheur ; il fréquente les tables de jeux et se retrouve fréquemment couvert de goudron et de plumes porté sur un rail par les habitants du village.
- Mark Twain, journaliste au Territorial Enterprise apparaît lors de sa rencontre avec Lucky Luke dans l’histoire L’Héritage de Rantanplan.
- Dans l’histoire suivante Les Dalton dans le blizzard, Lucky Luke est aidé par le caporal Winston Pendergast de la police montée canadienne à rattraper les Dalton[d 36].
Le premier film en prise de vue réelle où l’on voit apparaître le personnage de Lucky Luke sort en 1991 et porte simplement le titre de Lucky Luke. L’acteur Terence Hill, vedette du western comique italien, l’a mis en scène tout en incarnant le personnage titre. Après une grosse hésitation de Morris à cause de la non-ressemblance de l’acteur avec Lucky Luke, les contrats sont signés et le film est tourné.
Albums : Les Aventures de Kid Lucky d’après Morris[modifier modifier le code]
Ils sont les cousins imaginaires des véritables frères Dalton, des hors-la-loi américains qui ont sévi au XIXe siècle. Ils font leur première apparition dans l’histoire Les Cousins Dalton où ils promettent d’abattre Lucky Luke pour venger la mort de leurs cousins tués quelque temps auparavant par le cow-boy solitaire. Ils vont alors devenir des personnages récurrents de la série, comme premiers ou seconds rôles[d 11]. La présence régulière de Lucky Luke dans le journal Pilote ne durera que cinq ans. Constatant que le journal a changé de visage et de public, Goscinny et Morris estiment que la série n’y a plus sa place. Lucky Luke fait donc sa dernière apparition en 1973 dans le no 736 de Pilote avec la fin de l’histoire L’Héritage de Rantanplan.
- Lucky Luke fait donc sa dernière apparition en 1973 dans le no 736 de Pilote avec la fin de l’histoire L’Héritage de Rantanplan.
- Le Grand duc Léonide a les traits de Sydney Greenstreet, le professeur Otto von Himbeergeist, personnage principal de La Guérison des Dalton est en fait l’acteur allemand et premier non-américain à recevoir un Oscar, Emil Jannings.
- L’année suivante paraissent dans Spirou les histoires, Jours de round-up du no 619 au no 629, Le Grand Combat du no 630 au no 646.
- Il est aussi très solitaire et l’on ne sait rien de sa famille, sauf lorsqu’il parle à deux reprises seulement de son grand-père dans La Ruée vers l’or de Buffalo Creek et Phil Defer[d 4].
- Lucky Luke – tome 8 – Chasseur de primes est le titre du livre qui est très recherché aujourd’hui.
Un nouveau scénariste attitré à la série est aussi désigné en la personne de l’humoriste Laurent Gerra. Pour l’occasion, la série est renommée Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris. Après un essai pour Achdé avec l’histoire courte Le Cuisinier français, sur scénario de Claude Guylouis dont l’album est offert pour l’achat d’un album de la série, sort en 2004 la première histoire de ce nouveau duo, La Belle Province. Après une longue absence, la série revient dans le journal Spirou en 2010 avec l’histoire à suivre Lucky Luke contre Pinkerton publiée du no 3779 au no 3784[2], puis en album la même année. Pour cet album, Laurent Gerra laisse le scénario au duo Daniel Pennac et Tonino Benacquista[67] qui reviendront pour l’album suivant, Cavalier seul, paru en 2012.